Le seul vendredi saint du calendrier se situe juste avant Pâques dans la religion catholique. Saint, à l'origine, et encore aujourd'hui habituellement, signifie bénie, pur, parfait, consacré. Bien curieux que l'Église ait nommé ces quelques jours précédant ses Pâques, saint; pourtant, ce sont à coup sûr, les plus sanglants et les plus pénibles journées de son Dieu. Comme le faisait remarquer un musulman, comment les catholiques peuvent-ils adorer et adopter comme modèle de vie un dieu souvent représenté en sang, l'air contrit, quand ce n'est pas sur la croix en train d'expirer ; le nôtre est souriant... voire débonnaire. Vive la passion. Encore une fois, l'Église qui nous vole un autre mot. Vous connaissez un mot plus élégiaque et plus savoureux que passion? Ah non ! Souffrance, sang, injustice... Pauvres catholiques !
Je vous annonce que la vaste majorité de mes vendredis sont saints. Ils sont merveilleusement la porte sur quelques journées de bonheur et de paix. Ils sont aussi l'orée de beaucoup de passion : les miennes, ma famille, mes projets, mes lectures, mes vins, tous mes bonheurs ! Vive la sainteté ! Vive la passion !
Je vous annonce que la vaste majorité de mes vendredis sont saints. Ils sont merveilleusement la porte sur quelques journées de bonheur et de paix. Ils sont aussi l'orée de beaucoup de passion : les miennes, ma famille, mes projets, mes lectures, mes vins, tous mes bonheurs ! Vive la sainteté ! Vive la passion !
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