16 octobre 2008

MoMA - Pollock

I have a dream! But who has an answer for me? The bridge crosses a river no longer existing. It dried up. It was damed! The water holds, stuck up for production. People on both sides now walk across dry foot. Plants and trees have started to grow up there where mice, crows and rats commutes from downton to suburb.


Je suis Pollock. J'ai bu. Une immense toile assiège mes yeux. Mes mains sont fébriles. Mon cerveau fige. Peu à peu, je suis envahi par une épilepsie cérébrale. Dans le gris, mes neurones s'énervent, se choquent. Elles se rebellent. Elles électocutent ma paroi crânienne. Le sang s'échauffe. Le pression monte. Tout mon corps commence à trembler. Je vais peindre bientôt. Je vais mouiller mes mains, mes doigts; mes ongles égratigneront le canevas entre la pression crevassante et la déchirure.



Outside in. Old words with no meannig. Remember Bill when we wanted to decontruct the words to build poetry instead of writing it. Join the sound to the feeling instead of the traditional highway of the words. Too late. You don't write and neither do I...


Pollock promena son américanité toute sa vie dans sa carcasse de blanc. L'indien du Wyoming lui colla tous les jours à la peau. Au fond de la bouteille, il trouva les gestes de son "addiction".

J'aime Pollock.
Pour Ève...

1 commentaire:

EvePicard a dit...

Tel père, telle fille!!

Personnellement, celle-ci est une de mes "absolute favorites"


http://www.leninimports.com/jackson_pollock_gallery_27.jpg


Tu devrais voir sa biographie "Pollock" avec Ed Harris.