En lisant cet essai, 'Beowulf' Movie Magic Can't Conjure The Poem's Bare-Bones Enchantment
par Blake Gopnik du Washington Post, jeudi le 22 novembre dernier, les murs austères flanqués des immenses cadres des célébrités de mon Séminaire ressurgirent à mes yeux. Mon nez retrouva le léger bouquet de moisissure et d'encens. J'entendais à nouveau mes savates claquées sur les larges tuiles usées et les échos me raconter leur mouvance.
Beowulf, to be a wolfe! Crier au loup! Dans le silence... d'un monastère:
"The great hero Beowulf, wrestling with the monster Grendel, split the sinews of
his foe and snapped his arm off at the shoulder. Going up against the monster's
mother, he slammed her to the earth, then sliced her neck through with a sword."
Arrghh! Roland dans toute sa gloire, qui m'avait intrigué, et fait rire de ses exploits tout français, en Éléments Latins (Secondaire I), se côtelait avec cette bête comme le Comte de Montmirail, d'Appremont et de Papincourt (http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Visiteurs) contre Rambo. Ce héros de l'Angleterre médiévale et ses fantastiques aventures retèrent graver dans ma mémoire à jamais:
"Whereas watching the movie leaves us absolutely in the place and present where
we started out. It's just "Die Hard" in chain mail."
Bientôt, dans mon sous-sol, sur écran géant, je l'inviterai chez moi. Je retouverai mes 16 ans:
"My own first encounter with "Beowulf" came as a kid, in a surprisingly uncleaned-up version from "The Golden Treasury of Myths and Legends." I still think the spare modernism of the book's images, hand-drawn by the great American illustrators Alice and Martin Provensen, comes closer to capturing the intensity of the ancient original than the $150 million movie's industrial light and magic ever does."
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