Conrad Black: A Scribe’s Progress
Literary Review of Canada
December 2007 LRC Online Originals
Conrad Black: A Scribe’s Progress
AN ESSAYby George Galt
Le revue de décembre offre un intéressant regard sur l'oeuvre de Conrad Black. Je me rendrai très certainement me procurer une de ses oeuvres, quand ce ne serait que pour m'instruire: Duplessis probablement!
Quand Jonhson a passé le fil d'arrivée les deux bras en l'air victorieux au Cent mètres, mon coeur battait à tout rompre: finalement, les Olympiques consacraient un héros de chez nous. Les stéroïdes l'ont détruit. Au nom du scandale médiatique, les petits médias se sont amusés à machouiller, comme d'habitude. Quand on se tient loin de l'analyse, on triture dans les déchets. Peu importe, je suis bien fier de lui. Je ne connais pas grand monde qui aurait fait le centième, le millième, pour atteindre cette victoire. Les stéroïdes, c'est de la pégadille! Alors détruisons, jounalistes! Allons-y gaiment! Le sport est devenu votre poubelle. Mais dans une plus large mesure vous avez tout transformé en poubelle. Les plus majestueuses aventures, vous les ficelez dans vos sacs verts prêtes pour le dépôtoir ou, encore mieux, pour la récupération... On pourrait toujours ressortir cette histoire plus tard!
De long en large, du plus local ou plus internationnal, vos patrons vous cajolent de primes à la popularité et vos dents cariées resplendissent dans vos basses-cours grillagées. Black, malgré toute sa noirceur, le tout petit Lacroix, dans toute son ignominie, vous demeurent bien supérieurs. Ils ont agi. Et l'un comme l'autre, parmi les tarés de notre monde économique, ils n'ont profité que des suiveux et des encore plus petits ambitieux qui voulaient à tout prix faire plus d'argent plus vite. À couillons, couillons et demi...
Je lirai Duplessis... La grande noirceur par Black...
Literary Review of Canada
December 2007 LRC Online Originals
Conrad Black: A Scribe’s Progress
AN ESSAYby George Galt
Le revue de décembre offre un intéressant regard sur l'oeuvre de Conrad Black. Je me rendrai très certainement me procurer une de ses oeuvres, quand ce ne serait que pour m'instruire: Duplessis probablement!
Quand Jonhson a passé le fil d'arrivée les deux bras en l'air victorieux au Cent mètres, mon coeur battait à tout rompre: finalement, les Olympiques consacraient un héros de chez nous. Les stéroïdes l'ont détruit. Au nom du scandale médiatique, les petits médias se sont amusés à machouiller, comme d'habitude. Quand on se tient loin de l'analyse, on triture dans les déchets. Peu importe, je suis bien fier de lui. Je ne connais pas grand monde qui aurait fait le centième, le millième, pour atteindre cette victoire. Les stéroïdes, c'est de la pégadille! Alors détruisons, jounalistes! Allons-y gaiment! Le sport est devenu votre poubelle. Mais dans une plus large mesure vous avez tout transformé en poubelle. Les plus majestueuses aventures, vous les ficelez dans vos sacs verts prêtes pour le dépôtoir ou, encore mieux, pour la récupération... On pourrait toujours ressortir cette histoire plus tard!
De long en large, du plus local ou plus internationnal, vos patrons vous cajolent de primes à la popularité et vos dents cariées resplendissent dans vos basses-cours grillagées. Black, malgré toute sa noirceur, le tout petit Lacroix, dans toute son ignominie, vous demeurent bien supérieurs. Ils ont agi. Et l'un comme l'autre, parmi les tarés de notre monde économique, ils n'ont profité que des suiveux et des encore plus petits ambitieux qui voulaient à tout prix faire plus d'argent plus vite. À couillons, couillons et demi...
Je lirai Duplessis... La grande noirceur par Black...
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